Place Barachois n°1 février 2012
L’EDITO: Humanité…
Chers-ères adhérent-es,
Il y a quelque chose de pourri dans le monde des préfectures.
Etre ou ne pas être adhérent à la CGT, telle est la question (de survie) que vous vous êtes posée.
Mépris, arbitraire, harcèlement, déstabilisation, humiliation, abus, culpabilisation…, qui d’entre nous ne connaît pas ou n’a pas connu de telles situations, et repéré ce besoin d’un cadre protecteur que peut apporter un syndicat ?
Car lutter seul, cela est impossible et que lutter collectivement cela est indispensable. Un syndicat est un instrument que les travailleurs se donnent pour améliorer leurs conditions de travail et défendre leurs intérêts.
La CGT n’est pas un syndicat mais LE syndicat. On n’adhère pas à la CGT par hasard…
On y adhère parce que c’est un syndicat qui dénonce les injustices au lieu de les  cautionner, qui propose des solutions au lieu de consentir au silence et à l’attente, qui  informe au lieu de dissimuler.
On adhère à la CGT parce qu’on ne veut pas céder à l’écoeurement et à la tentation de l’arrivisme. Parce qu’on revendique le droit à travailler dignement. Parce que tout simplement, dans sa vie professionnelle aussi, on est chaque jour en quête d’un peu
plus d’Humanité…

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AU SOMMAIRE
LES NEWS
1- Entrée en vigueur du délai de carence en cas d’arrêt maladie
2- Le calendrier prévisionnel de la paye en 2012
LA FICHE PRATIQUE
Les ARTT
ILS ONT OSE LE DIRE
1- Muriel Marland-Militello : « Des nocturnes dans les préfectures »
2- Anicet Le Pors :« La « révolution » de la fonction publique est une forfaiture